L’Opossum - Squelette doré.

EGRET Marie-Françoise          L’Opossum - Squelette doré, couverture de Jean Peschard, photo J. Robert, texte en quatrième de couverture de Pierre-Aimé Touchard, collection "Théâtre en France", P. J. Oswald, avril 1975. -76p.

L’Opossum, courte pièce pour deux actrices. Jeanne, la trentaine, re-joue / revit, avec son amie Georgette, son histoire d'amour avec François, riche bourgeois bedonnant mais baisant bien, qu’elle avait rencontré alors qu’elle avait dix-huit ans. Premier amour qui la hante, qu’elle aurait tué deux jours auparavant lors d’une partie de chasse. Georgette joue François mais aussi d’autres amants de Jeanne (Arthur, Antoine). Évocation d’une courte expérience de première et clandestine chaîne télévision de quartier libre montée avec un magnétoscope. Création le 17 avril 1975, à la M.J.C. d’Issy-les-Moulineaux, dans une mise en scène d’Emmanuel Ostrovski, avec Elisabeth Maulne et Bulle Hauser.                                                                                                           

Squelette doré. Diane, riche et encore belle sexagénaire, a décidé de partir en beauté. Elle invite ses amis les plus proches, tous trentenaires, dans une maison au bord de la mer : Simon, un écrivain, Jacques,  Raoul, la belle Gilda,  amoureuse d’un jeune comédien, Raphaël. Le titre fait référence à une sculpture de l’artiste Michel Journiac.